Bygmalion : la mécanique de la fraude
L’audition de Nicolas Sarkozy et le réquisitoire à deux voix du parquet ont été les moments forts de la quatrième semaine d’audience du procès Bygmalion. Si l’ancien chef de l’État a dénoncé la fable de l’emballement de sa campagne, contestant toute mise en cause pénale, une peine d’un an, dont la moitié avec sursis, et de 3 750 € d’amende a été requise par le ministère public.